Combien d’accordages successifs ?
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Décompte des accordages successifs introduits par Xavier : pour moi, je décompte non pas 4 accordages, mais 1 puis 3 emboîtés.
Le premier, donnant l’Accord sur l’accord, comme Xavier le dit si bien, me semble prendre différents noms au fil des pages et des fascicules : métaprincipe universel, métaprincipe unique, métaprincipe universel d’accord juste, dans les premières pages de la TNN, puis monopôle d’accord (page 192). Dans les deux pages qui suivent (193 et 194) Xavier fait une distinction que je comprends mal entre Per-accord qu’il baptise A0, et Méta-accord qu’il baptise A1. Ce qui permet ensuite de baptiser respectivement A2, A3 et A4, les trois accords sur le sens du temps (thermodynamique) ; le sens de la force (fusion-scission), ou la latéralisation (gauche-droite) ou l’enroulement (lévogyre-destrogyre) ; et le sens de l’espace (génération ou projection).
J’ai confusément le sentiment que ce baptême indiciel successif n’est pas « justifié ». Pour moi, j’aurais tendance à nommer A0 le principe initial d’accord juste (nommé aussi superprincipe d’accord dans le fascicule II Théologie), et A1, A2 et A3 les accords suivants qui actualisent A0, par la donation des boussoles thermodynamique, magnétique et gravitationnelle.
J’ai aussi le sentiment que cette notation présente un grave inconvénient, si l’on va se situer non plus dans le domaine réel, mais dans le domaine virtuel, numérique, Car alors, les métanombres associés à ces trois accords successifs sont 3exp1, 3exp2 et 3exp3... et il manquerait le chiffre 27 dans la biosphère, dont Xavier a besoin pour parfaire l’isomorphisme entre la distribution des codons et celle nombres premiers ainsi enrichie.
Je n’ai pas de solution pour répondre à cet inconvénient. Sinon à dire que toute boussole est proposée, dans le monde réel, « au début » de chaque sphère emboîtée (page 23, figure 0-1, l’arbre des créatures) : ainsi, la boussole magnétique serait proposée dès le passage de quelques particules élémentaires qui s’organisent en atomes, puis en molécules, et attendrait qu’une de ces molécules opte pour l’enroulement lévogyre pour être mise en « application ». De même, dès ce moment, la boussole gravitionnelle serait proposée, et devrait attendre l’émergence de l’humain, quelques milliards d’années plus tard, pour être mise en application. Et du fait que cette boussole est proposée ainsi dans le monde réel, son chiffre correspondant (3expn) est disponible au même moment dans le monde virtuel.
Mais si une telle hypothèse « sauve » l’existence du 27 en tant que métanombre à inscrire dans la suite des nombres premiers, je n’ai aucune justification pour une telle hypothèse...
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