In search of Divine Reality (Lothar Schaefer)
par
Lothar Schaefer est professeur de Chimie-Physique à l’Université d’Arkansas. Il a fait le 23 février 2004 un exposé à l’UIP à Paris sur "L’importance de la physique quantique dans la pensée de Teilhard et au 21 ème siècle : pour une vue différente du Darwinisme et de l’évolution biologique".
Son livre "In search of Divine Reality" est actuellement en cours de traduction par Michel Godron, qui a eu l’amabilité de m’adresser certaines "bonnes feuilles" (non encore complétement finalisées) pour nourrir notre dialogue concernant l’épistémologie.
Pour obtenir ce texte, en faire la demande à Michel.
J’ai lu attentivement le chapitre 1 (Dualité onde-corpuscule) qui reprend les bases de la mécanique quantique. J’ai été étonné que parmi les expériences développées, le nom de Young ne soit pas (sauf erreur) cité, alors que d’autres physiciens importants le sont ?
Mon questionnement reste le suivant :
Comment les interférences d’ondes, objets virtuels de nature potentielle, sans énergie, non physique (ni chimique), peuvent-t’elles se propager dans le vide quantique (cosmique) ?
Ces ondes (fantomatiques) qui nous apparaissent (mentalement), que comme des formes numériques (objets mathématiques), comment par sauts quantiques, peuvent-t’elles s’actualiser en formes d’électrons (particules matérielles), douées d’énergie, observables physiquement et chimiquement de façon expérimentale ?
Ce changement d’état implique au départ un état potentiel, gros d’une réalisation, état actualisé dit matériel, par ailleurs réversible.
Qu’est au juste ce "potentiel" (Aristotélien) en dehors d’une "vaste pensée" !
Pourquoi et comment ce saut quantique, se fait en actualisation, ou se défait en virtualisation ?
Qu’est ce au juste que cette interférence, qui préjuge du choc de deux ondes théoriques non localisables ?
Pourquoi y a-t’il alors quelquechose (une onde supperposée matérialisable par expérience), et non pas rien (vide quantique d’origine) ?
Mystère des propriétés extraordinaires du comportement de ces entités quantiques, par rapport aux ondes électro-magnétiques (lumière, radio, rayons X) et aux ondes sonores ! Il est un fait que nous disposons, avec l’expérience des fentes de Young, de précieuses informations de nature probabiliste, à partir de la détection des points d’impacts des particules sur un écran lumineux. Celles-ci peuvent s’exprimer en relations numériques, mais où commence (et où finit) l’agrégat, que nous appellons matière ?
Matière qui sous l’angle macroscopique présente une apparence solide et cohérente (notion de Phénomène), et qui dans son fondement, sous l’angle microscopique, se révèle un ectoplasme ondulatoire, dont l’essence est de "pouvoir-être" !
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