Il ressort, à mon avis, de l’intéressante réflexion de Jacques Malbrancke,
que l’élément déterminant est ..."l’intensité de l’action", qui est
principalement d’ordre qualitative, alors que la convention de marquage en
noir d’une action dépassant un seuil arbitraire (goutte d’eau prononcée)
permet une mesure de comptage d’ordre quantitative.
En dessous de ce seuil, la computation des cases simplement humidifiées est
impossible, sauf à convenir que l’on compte l’ensemble des cases du ruban
non marquées de noir. Nous sommes dans la situation "être ou ne pas être"
(noir ou blanc, mais le gris n’est pas identifiable).
La notion de "Quantum", que ce soit unité spatiale d’un ruban transparent
(réalité virtuelle), ou unité de temps définie par l’instant, représente
l’unité de mesure quantitative, mais c’est le "Qualé" (au pluriel, des
qualia), qui mesure l’échelle des valeurs qualitatives.
En fait, si nous faisons abstraction de notre vision "noosphérique", pour
imaginer une vision purement "végétative" (animale ou végétale), ne subsiste
que le "Continuum" d’action, décomposé par nous, intellectuellement, en
tranches de vie, spatiales ou temporelles, mues par une "Force", qui nous
permet d’y distinguer les lieux et les moments.
Comment définir les "bases de communication" entre un émetteur et le
marqueur qui recueille le message à transmettre ?
Il nous faut au préalable "construire" la nécéssité d’un échange avec un
autre homme, pour établir une liaison sur un même mode de pensée. Cette
structuration de la communication (mise en commun) découle d’un "accordage"
d’ordre culturelle, à plusieurs niveaux, en particulier sur le plan du
langage, avec un apprentissage progressif des rapports entre signifiant et
signifié.
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