Xavier,
Voici comment je lis la suite ; je trouve ce document très intéressant concernant les nouvelles idées et les nouvelles synthèses que tu proposes , bravo bravo pour tout ce travail, c’est remarquable ! Y’a tant à partager !
p 14 : mode majeur et mineur : je reviens juste sur le fait que le mode majeur, par exemple l’accord de Do Majeur, est composé des notes Do Mi Sol Do alors que l’accord de Do mineur est composé des notes Do Mib Sol Do, où la tierce est mineure, écart de Do à Mib = 1,5 ton au lieu de 2 tons, écart de Do à Mi en majeure (càd 1/2 ton plus bas). Il y a donc bien une différence entre les modes majeur et mineur dû au retrait d’1/2 ton qui disparait dans la musique de la phénoménalité en mineur et apparaît dans le silence de la non phénoménalité en majeur.
p22 : On a vu _§ 4b_ et pas 5b que cette discrimination.....
p25 : quanton : je me suis redemandé quelle était la définition de quanton : je trouve ceci dans l’encyclopédie unviersalis : En fait, si la physique microscopique ne peut éliminer la dichotomie du continu et du discontinu, la théorie quantique, née avec le xx^e siècle, qui la régit, va mettre en œuvre cette dualité de façon originale. Considérons ses objets types, les quantons. Ils relèvent du discontinu, en ceci qu’ils peuvent se compter, au moyen des entiers naturels : on peut spécifier le nombre d’électrons dans un atome, et (même si cela est plus difficile) de photons dans un faisceau laser. Pourtant, les uns comme les autres manifestent des possibilités d’interférences, de superposition, et relèvent donc du continu ! Il faut alors considérer, et c’est là toute la leçon quantique, qu’il n’y a pas ici une, mais deux alternatives continu /discontinu, selon que l’on s’intéresse au nombre ou à l’étendue (spatiale) ; la vision classique, à tort, tient pour solidaires ces deux dichotomies et les identifie. Le champ (classique) certes est continu sous les deux aspects, et la particule (classique) discontinue sous les deux aspects ; mais le quanton possède un caractère discontinu du point de vue du nombre, et continu du point de vue de l’étendue. Et ailleurs sur Wikipedia : il semble que ce soit Lévy-Leblond qui ait le premier popularisé le terme quantons pour parler des particules élémentaires comme els électrons, les prtons et neutrons ayant un double comportement onde et particule (continu et non continu), dépendant des circsonstances. Les quantons sont donc les objects quantiques comprenant les bosons, les fermions et toutes les particules élémentaires.
p22 : si les 3 symétries T-F-L sont indécidables dans la phénosphère mais qu’ en vertu de CPT qui est tjs >0, l’action ou quantum d’action, TFL est tjs >0 aussi, càd manifesté, pourquoi parler de chaos quantique ?
p30 : tu indiques que la téléonomie est induite et la téléologie déduite ; moi je pense que c’est le contraire ; d’ailleurs en p 39, tu indiques bien induction téléologique et déduction téléonomique et plus loin téléonomique qui déduit et téléologique qui induit
p14 et 32 : tu indiques que la problématique Béna récuse un tel finalisme (celui que la science récuse à propos du nominalisme de la fusée Univers) ne serait-ce qu’en vertu d’un principe ontologique de liberté d’être ou de ne pas être d’accord qu’implique la logique trialectique. Veux-tu dire que cette liberté n’est pas seulement exercée au niveau de la Noosphère par les êtres humains mais aussi déjà dans la phénosphère par les quantons, dans la nucléosphère par les atomes, dans la biosphère par les cellules ?
p40 : je n’avais pas vu que tu parlais déjà dans ce document de la relation entre h et k. Je complèterais la 1ère phrase en disant : si le recueil, via une interaction, d’1 bit d’information coûte le désordre égal à 3 bits d’entropie d’un ordre élémentaire, celui du tenseur Action, la remise en ordre de ce désordre par une interaction coûte 3 bits d’information. En gros, vu sous l’angle de la production d’une action manifestée, pour réaliser une interaction ordonnée il faut consommer 3 bits d’information en acquérant l’information pour construire l’interaction ; par contre, vu sous l’angle de la consommation d’une action manifestée, si lors d’une interaction, on recueille un bit d’information, c’est qu’on a produit 3 bits d’entropie en sacrifiant l’action pour acheter l’information
p41 : il faut écrire a10**0=a**-2,0959**0=a3**0=a qui n’est pas égal à a3**3**0 qui vaut a3
p40 et 41 : si pour l’interaction gravitationnelle on a bien d10**-39=d3**2,0959**-39=d3**-81=d3**-(3**4) => le nombre 4 comme exposant
et pour l’interaction nucléaire faible c10**-13=c3**2,0959**-13=c3**-27=c3**-(3**3) => le nombre 3 comme exposant
il faudrait effectivement que pour l’interaction électromagnétique on ait le nombre 1 comme exposant, ce qui donnerait b3**-(3**1) = b3**-3=b3**2,0959**-1,43=b10**-1,43 or on a b10**-2
et il faudrait de même pour l’interaction forte avoir le nombre 0 comme exposant, ce qui donnerait
a3**-(3**0)=a3**-1=a3**2,0959**-0,48=a10**-0,48 or on a a10**0
On voit donc qu’on a des coéfficients +-0 (-0,48) pour interaction forte, +-1 (-1,43) pour interaction électromagnétique, 3 pour interaction nucléaire faible et 4 pour interaction gravitationnelle.
En prenant non plus les coéfficients eux-mêmes, càd 0, 1, 3, 4 mais leur N° de séquence dans cette suite on trouve
1 pour interaction forte
2 pour interaction électromagnétique
3 pour interaction faible
4 pour interaction gravitationnelle
et en inversant l’ordre on trouve
1 pour interaction gravitationnelle
2 pour interaction faible
3 pour interaction électromagnétique et
4 pour interaction forte
si je reprends ton tableau récapitulatif de la TGS à la fin, on voit dès lors que les exposants pris dans cet ordre sont bien conformes au N°s des champs que tu indiques à savoir relatif au Nomos
Accord 3**1 pour Accord Phénosphère avec l’interaction gravitationnelle et CPT >0 (manifestation-non manifestation, plein-vide, quelque chose-rien)
Accord 3**2 pour Accord Nucléosphère avec interaction faible qui est celle qui explique la prédominance de la matière sur l’antimatière. Sakharov indiqua que pour que cela puisse se passer (le fait qu’il y eut un excédent de matière par rapport à l’anti-matière dans un passé très lointain de l’univers et que tout fut annihilé sauf ce tout petit excédent de matière qui subsista), il faut qu’il y ait 3 conditions, dont l’une est justement la violation de la symétrie CP et donc de la symétrie T. et violation symétrie T (apparition-disparition, avant-après, matière-antimatière) => T-T si on compare TFL avec CPT (faudrait mieux écrire TFL et TPC)
Accord 3**3 pour Accord Biosphère avec l’ interaction électromagnétique et violation symétrie P (couplage-découplage, enroulement-déroulement, union-séparation) => F-P
Accord 3**4 pour Accord Nucléosphère avec l’interaction forte et violation symétrie Cintégration-dérivation, surgénération-dégénération)=> L-C
A ce propos, à noter que dans ta colonne Phusis pour noosphère, tu indiques interaction nucléaire forte symétrie C, alors que dans la colonne droite de l’Arithmos, tu indiques interaction électromagnétique. D’après le raisonnement ci-dessus, ce serait plutôt interaction forte qui serait juste avec intrication trichrome
Accord 3**0 enfin pour Accord Ontosphère avec l’interaction Higgs et violation symétrie de la courbure de l’espace qui n’est plus plat mais légèrement courbé et qui engendrerait la manifestation par rupture d’équilibre ou dissonance avec cette résonance qu’est le champ de Higgs, champ d’ontoaccord sur l’accord et le désaccord). Cette rupture de symétrie entrainerait donc d’après la TGS, la masse de la particule qui caractériserait ce degré de dissonance et cette difficulté des autres particules à se déplacer dans l’environnement immédiat de cette particule.
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