Dans le Livre Zéro "Le pas du sens" de Xavier Sallantin le mot « bogue » apparait pour la première fois page 150 au Chapître 5 (L’ontosphère, référentiel absolu ?) à propos du codage génétique :
« Si les êtres non pensants ne dénombrent que 22 numéros distincts là où nous autres humains pensants en dénombrons 64, peut-être leur compteur est-il affecté d’un bogue ? Mon hypothèse de recherche me suggérait que ce bogue venait de ce que dans la Biosphère le topomètre n’est pas polarisé alors qu’il l’est dans la Noosphère. »
Il ne figure que dans ce chapitre (cinq fois ) et pas dans les autres. Il est définit dans le Lexique page 332 :
Bogue : dysfonctionnement d’un numériseur.
Xavier Sallantin utilise donc ce mot avec son sens courant. Voici la définition donnée par Wikipédia : « Un bogue ou bug informatique est une anomalie dans un programme informatique l’empêchant de fonctionner correctement. »
Vous pouvez voir plus de détails sur l’origine et l’histoire de ce mot qui changea de sexe entre 1983 et 1990 ! à l’adresse suivante : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bogue_(informatique)
XS n’utilise donc ce mot que sur le registre du comptage , et il l’utilise peu. Probablement pour ne pas mettre l’accent sur une erreur, mais pour montrer que ce disfonctionnement apparent n’est que le révélateur d’un accordage non réalisé. Les mots « accord » « polarisation » « diapason » « orientation » « ajustage » etc .. sont bien plus importants pour comprendre la TGS de XS. La TGS fait l’hypothèse d’accordages successifs sur le registre comptable de l’information (ou de la communication) en lien avec des accords successifs sur le registre physique de l’action, sur le sens de l’écoulement du Temps, de l’orientation de la Force et de la génération des dimensions d’Espace.
A mon avis, l’accordage qui est lié à la question fondamentale de Leibniz : "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?" n’est pas celui qui affecte le Temps et la prise en compte du 1 ou du O (Cosmoaccord) , mais au niveau plus profond du Protoaccord.
Le Protoaccord permet l’existence d’un Univers observable. C’est l’acte de naissance d’un "je suis et je perçois" c’est à dire d’un "être-réflexion" (un être qui se voit être) qui n’a pas attendu Descartes et son "je pense donc je suis" pour mettre en oeuvre ses capacités à être et à réflechir ; certes avec beaucoup d’hésitations et de contradictions, et quelques coups de pouces (cosmo, bio et noo accordages) pour rendre possible Descartes.
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