lundi 28 février 2011
à 21h29
- par J. Nicolas MAISONNIER
Voilà Alain, un aller-retour en TGV à Nantes m’a permis de faire une première lecture de tes 8 documents.
Le N°7 "De la TGS .." va être précieux pour mettre en forme la conférence de Font Romeu. Je pressens que celle-ci sera vraiment le fruit d’un travail de groupe et non d’un one-man show. J’ai apprécié ta coquille page 1 quand tu dis que tu tentes de clarifier la TGS "pour ceux et celles qui ne sont pas habitués à traire de ces matières" (j’ai supprimé cette belle image dans la version que j’ai postée sur le Site ; j’ai aussi rajouté des N° de pages).
Tes propos (p 2) sur la trialité - Signifiant-Signifié-Référent m’inspirent la phase suivante qui peut mieux passer pour un auditoire de vachers : "Regarde cette trace ... ça veut dire ça ... pour nous".
Tes propos (p 2) sur les trois dyslexies m’inspirent les phases suivantes : "1 nouveau ou 1 ancien ?" "1 en plus ou en moins ?" "1 pour 2 ou 2 pour 1 ?".
p 5 : kaons et mésons seraient-ils comme des bosons messagers de l’asymétrie de l’écoulement du temps ?
P 7 : D’accord avec toi, il faut éviter dans nos présentations le mot "lévogyre" et opter pour "type L"
p 9 : "Espace conceptuel" : tu as raison d’employer ce qualificatif pour bien préciser qu’il ne s’agit pas d’une simple expansion d’espace au sens entendu par les astrophysiciens. Ceci dit, ce n’est une qualité abstraite mais c’est bien contenu dans le caractère pluridimentionnel de l’espace. Reste à savoir comment le débogage a eu lieu dans le cerveau des hominiens, et comment depuis lors il s’est transmis de génération en génération !!!
Le N°1 "De Carnot, de l’entropie ..." - La définition de l’entropie de Shannon m’incite à calculer ainsi les niveaux d’entropie des différentes sphères :
Phénosphère : S= - 3 * 1/2 * log2 (1/2) = 3/2
Nucléosphère : S= - 1 * log2 (1) - 1/2 * log2 (1/2)- 1/2 * log2 (1/2)= 1 (formule corrigée le 1 mars JNM)
Biosphère : S= - 1 * log2 (1)- 1 * log2 (1)- 1/2 * log2 (1/2) = 1/2
Noosphère : S= 0
Le N°2 "De la constante et des grandeurs de Planck" - RAS
Le N°3 "De la constante de Brillouin ..." - Le # 14 p 6 suggère qu’il faut une nouvelle constante universelle suite à la reconnaissance de l’information comme grandeur physique. Sa nature serait celle d’un seuil de sécurité ou certitude (limite entre évènement probable et évènement certain) : La constante que cherche Sallantin serait-elle de cette nature ?
Le N°4 "De la flèche du temps ..." - RAS
Le N°5 "Des protéines ...." - très intéressant mais RAS par rapport à la TGS
Le N°6 "Chiralité ..." - p 16 "Il a été calculé que les acides aminés naturels (type L) sont thermodynamiquement plus stables que leur image dans un miroir (type D)" Est-ce à dire que c’est uniquement un principe naturel d’économie qui a fait le choix des type L. Ou, comme la TGS en fait l’hypothèse, une capacité nouvelle à discriminer entre deux sens opposés ?
Le N°8 "De la Bruyère ..." - p 2, la démonstration conduisant à la formule de Bruyère peut être plus rapide (cf tableau publié par JNM) ; p7 et suivantes sont les plus intéressantes pour donner crédit à la Constante de Sallantin 1/3. J’aimerai Alain que tu reviennes la dessus lors de notre prochaine réunion. Au sujet du statut de l’information, ma question plus générale est de savoir si on reste dans le domaine de la Phusis ou si on déborde sur le registre de l’Aritmos ?
Amitiés - Jean-Nicolas
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