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lundi 21 février 2011
par  Alain BRUYERE

Huit documents à propos de la TGS et des concepts qui s’y rapportent

Vous trouverez en annexe 8 documents qui forment un tout. Je suis parti d’un document de Xavier et je me suis laissé emporter par un tour d’horizon bien plus large qui j’espère sera intéressant pour le groupe Béna et pour Xavier (pas vraiment les 6 premiers, quoique certains, mais le 7è en partie et (...)

En réponse à...

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mercredi 23 février 2011 à 15h01 - par  Xavier SALLANTIN

Un grand merci. Je n’ai encore lu que le document 8. Enfin je suis aidé par
des neurones moins thermodynamiquement dégradés que les miens et j’admire
tout le travail que tu as fait !

Je te signale tout de même une difficulté sur laquelle je travaille en ce
moment ; c’est le passage de la phénosphère des particules où le temps est
réversible à la nucléosphère des atomes où le temps est irréversible.
Typique de cette difficulté est la contradiction que j’aperçois au bas de ta
page 6 en bleu où tu dis : "il faut qu’au moins un des atomes du détecteur
ait reçu un signal", et tu enchaînes en noir au haut de la page 7 :"nous
sommes donc bien ici au niveau quantique". Non ! Tu dérapes de la
nucléosphère des atomes à la phénosphère des particules et ce dérapage se
comprend car la classification périodique des éléments simples de la chimie
est basée sur quatre nombres dits quantiques qui sont effectivement
l’empreinte du comportement quantique des électrons satellites du noyau d’un
atome sur l’atome saisi dans son intégralité (protons + électrons) et
caractérisé selon le nombre N de ses protons.

Je m’exerce en ce moment à ne pas franchir subrepticement cette frontière
entre phénosphère et nucléosphère. L’analogie de "l’Impromptu de l’Univers"
m’y aide beaucoup car elle permet de bien distinguer dans une pièce de
théâtre (l’histoire de l’Univers) son décor invariant (sans chronologie)
tout au long de la représentation des actes successifs de l’histoire
qu’improvisent les acteurs lorsqu’ils entrent en scène, pas forcément dans
l’instant du lever de rideau. Ce décor peut par exemple montrer des arbres
avec leurs feuilles qui frémissent et des oiseaux voletant de branche en
branche. Bien que permanent ce décor est spectacle d’une turbulence
(l’agitation des opiseaux-particules) que ma rétine enregistre par
interaction électromagnétique.

Je ne te donne ci-après en vrac que quelques indications elliptiques sur ma
recherche en cours qui s’inspire notamment des travaux de David Elbaz
(Science et Vie Septembre 2010) et qui me semblent ouvrir à
l’intelligibilité de la singularité finale et de l’action du futur sur le
passé. Elbaz a essayé de vulgariser ça dans une fiction parue chez Odile
Jacob en Avril 2010 : "et Alice Tao se souvint du futur" (ce roman est mal
écrit et confus). C’est cependant l’ultime et fantastique question et il est
normal de se planter en cherchant la réponse. Toutefois la TGS n’aura pas sa
clé de voute tant que ce dénouement de l’histoire de l’Univers ne sera pas
clairement appréhendé. Comme dans les polars, on ne trouve la clé de
l’énigme que dans le dernier chapitre.

D’abord, il importe de noter que la constante de Planck caractérise un seuil
de sensibilité naturelle au seul rayonnement électromagnétique (celui du
corps noir). Donc quand je suis sensible à la lumière (blanche) émise par le
décor je ne dois pas oublier qu’en dehors de ce qui impressionne ma rétine
il y a ce fonds noir qui ne l’impressionne pas sur lequel se détache ce que
je vois.
C’est tout le problème de l’astronomie actuelle quand elle découvre un trou
noir au coeur du halo lumineux d’une galaxie ; et surtout quand elle est
obligée d’imputer le comportement de ce qu’elle observe à l’influence
purement gravitationnelle d’une matière noire ou d’une énergie sombre.
L’électrodynamique quantique a permis d’identifier et de classer tout un
bestiaire de particules élémentaires - population d’une phénosphère - déjà
mises pour la plupart en évidence expérimentale (sauf le graviton et le
boson de Higgs). Mais la cosmophysique est en train de concevoir que la
masse d’un trou noir est celle d’un bestiaire de particules noires -
population d’une cryptosphère - dont l’identification et la classification
ne sont encore qu’ébauchées (whimps et axions ? Voir à ce sujet le très
intéressant n°399 Janvier 2011 de Pour la Science). On ne verra jamais sur
des écrans la trace des cryptoparticules noires mais on les saisira
indirectement par leur influence sur les traces des phénoparticules
blanches.
C’est dire que le décor de l’Univers ne doit pas seulement être saisi comme
une source d’un rayonnement éléctromagnétique émis par le Big Bang mais
comme un puits d’attraction gravitationnelle creusé par le Big Bang.
Autrement dit il faut concevoir ce décor comme interaction entre un trou
noir primordial et un trou blanc primordial, l’un et l’autre constituant
une singularité dont on ne peut dire si elle est initiale ou finale
puisqu’il n’y a pas de chronologie dans cette Protosphère, ensemble d’une
phénosphère et d’une cryptosphère. La théorie du champ de Higgs ne visait
jusqu’à présent qu’à expliquer la masse des phénoparticules blanches ; il
lui faut aussi expliquer la masse des encore hypothétiques cryptoparticules
noires. Il suffit à mon avis de considérer le trou blanc et le trou noir
comme deux vortex emportant dans leur tourbillon respectif de sens contraire
leurs particules respectives.

C’est de l’ interaction entre trou noir et trou blanc que procèdent à
mon avis la génération et La diversification des bestiaires noir ou blanc.
En premier lieu les quatre interactions fondamentales s’expliquent dans le
cas du bestiaire blanc par la non violation du CPT dans la Phénosphère :
- non violation de la symétrie CPT : caractéristique de l’interaction em,
intrication de :
- accord sur violation de la symétrie de T = interaction nucléaire forte
- accord sur violation de la symétrie de P : interaction nucléaire faible
- accord sur violation de la symétrie de C : interaction gravit.
(en soulignant que la courbure de l’Espace est ici créée par la masse des
seules phénoparticules )
Dans le cas du bestiaire noir des cryptoparticules je pense qu’il faut moser
symétriquement la violation du CPT dans la Cryptosphère de l’interaction
gravitationnelle créée par la masse des cryptoparticules et l’intrication
définie par la non violation des symétries T, P et C (celle-ci relative )
l’interaction em). Mais il ne s’agit là pour le moment que de supputations
en cours d’approfondissement.

L’innovation essentielle de cette démarche est la prise en considération
d’un trou blanc primordial déconsidéré aujourd’hui par la cosmophysique qui
ne s’intéresse présentement qu’aux trous noirs Mais comme le dit très bien
l’article de Pour la Science de Mars 2011 sur la naissance des étoiles , il ne suffit pas de dire comme Elbaz que de l’environnement lumineux d’un trou noir nait un quasar berceau de galaxies, il faut expliquer d’où vient cet
environnement lumineux. L’explication est apportée par l’hypothèse de la
protosphère, décor sans histoire de l’histoire de l’Univers, ensemble d’une
phénosphère et d’une cryptosphère en interaction, ensemble d’un milieu
source de toute manifestation lumineuse (em) et d’un puits d’occultation (g)
avec l’accord spécifique de la Protosphère sur le quantum d’action, critère
naturel de discrimination entre le Noir et le Blanc du décor.

Voilà à très grands traits ce sur quoi je phosphore en ce moment dans
une alternance entre abîmes d’obscurité et éclairs de clarté. Je suis engagé
dans une course conte la montre entre ma dégénérescence présente et la
"régénérescence " que j’aperçois à l’horizon de l’homme. Il est impératif de
se tenir informé des avancées quasi quotidiennes de la recherche au CERN et
ailleurs. La révolution n’est pas seulement celle du peuple arabe ; elle est
partout, même à Béna ; elle est trandisciplinaire et rester à jour de cette
accélération dans tous les domaines suppose des conditions exceptionnelles.
À Béna, cela se concrétise présentement pour ma part par deux textes en
chantier : d’abord, d’ici une semaine peut-être, une lettre à David Elbaz,
chercheur patenté qui a un culot monstre avec son "souvenir du futur".
Ensuite, d’ici quelques mois, un opuscule sur "la condition humaine à la
lumière de mon savoir et de mon croire" qui pourrait être distribué à Font
Romeu, "si Deu volt" comme disent les Catalans ; .
_ Je te communiquerai bien entendu ces documents et je te tiendrai au
courant de leur avancement. Je vais me plonger sur tes autres pièces jointes
et l’on va poursuivre notre fructueux dialogue.
_ Merci de ta patience et de ton indulgence. Amitiés XS

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