Ordre du jour de la Réunion des 4 et 5 avril 2008

samedi 22 mars 2008
par  Jean-Luc LEFEBVRE

Réunion du groupe Béna à Paris,
chez Bertrand Lallour, 51 av. de la Motte-Picquet (15e)
les 4 et 5 avril 2008.

Ordre du jour

Participants confirmés à la date du 22 mars 2008 :

-  Bernard Carré
-  Michel Godron (samedi seulement)
-  Matthieu Guillermin
-  Bertrand Lallour
-  Jean-Luc Lefebvre
-  Jean-Nicolas Maisonnier
-  Jacques Malbrancke
-  Michel Nguyen The
-  Xavier Sallantin

Avec la venue vendredi 4 avril d’un "observateur" :

-  Jean-Louis Henriot (ami de Jean-Luc)

Vendredi 4 avril 2008

• 10h00 - 11h30 :Dernières réflexions sur "Entropie et information"
Par Xavier Sallantin

Problématique abordée :
Présentation et commentaires par Xavier de ses toutes dernières réflexions sur les rapports entre la TGS, la théorie de la communication et la physique fondamentale.

Il est demandé aux membres du groupe d’avoir fait une lecture attentive du document :
"Quelques réflexions sur "Entropie et Information" assistées par la TNN et la TGS" récemment envoyé par Xavier et disponible sur le site du groupe Béna à l’adresse suivante :
http://groupebena.org/article.php3?id_article=138

Débat sur le sujet.

11h30 - 12h00 :

Mathématiques, sciences physiques et TGS.
Par Michel Nguyen The (30 mn)

Problématiques abordées :
-  Dans quelle mesure on peut retrouver implicitement des notions de débogages dans les mathématiques actuelles à travers notamment les différentes structures algébriques ou plus généralement les sciences physiques (logique quantique, loi d’addition relativiste...) ?
-  Quelles notions des sciences actuelles pourraient être précisées et intégrées dans les travaux de Béna (par exemple la notion de non commutativité au centre des relations de Heisenberg).
-  Quelles notions sont véritablement novatrices dans les travaux de Béna (relation de Heisenberg de type dF d(ET)), débogages sur les registres du temps, de l’espace et de la force...

• 12h00 - 12h30

Est-il possible de réfléchir à des débogages dans le monde numérique virtuel, analogues à ceux que propose XS dans le monde réel ?
Par Jacques Malbrancke (30 mn)

Problématique abordée :
Comment traduire dans le domaine virtuel, et de façon précise, le débogage qu’explicite Xavier entre les différentes sphères du monde réel. Ainsi, quoi nous autorise à dire que le débogage du sens de la force, qui ouvre la possibilité d’une biosphère, se traduirait dans le monde virtuel numérique par la donation (l’apparition ?, la distinction rendue possible ?) des signes + et -, et donc l’utilisation rendue possible des digits -1, 0 et +1, venant enrichir les 0 et 1 de la cosmosphère. Peut-on parallèlement dire que la biosphère ne dispose pas des nombres cardinaux (exprimant un rapport d’une mesure à la mesure de l’unité), mais seulement des nombres que j’appelle quantitatifs (n’exprimant pas autre chose qu’un dénombrement) ? Est-il possible de distinguer les nombres qui numérotent de ceux qui dénombrent et de ceux qui mesurent ? Pourquoi l’homme a-t-il tendance à les confondre ? Etc.

• 12h30 - 14h30 :
o Déjeuner.

14h30 - 15h00
o Point sur les chapitres du "Livre zéro" mis en ligne sur le site "metabena.org", les réactions, les commentaires de Xavier...

15h00 - 15h30

Intervention de Bernard Carré :

o "Comment communiquer sur la TGS" (cf. texte en ligne : http://groupebena.org/article.php3?id_article=131)
o Point sur la présentation du "Projet univers" et la diffusion de la TGS auprès d’un public d’élèves ingénieurs.

• 15h30 - 16h30

Débat, Questions diverses :

Question posée par Michel Nguyen The :
Sur les questions de gouvernance et de développement personnel, il y a beaucoup de groupes de réflexion autour de nouvelles logiques.
Cela vaut-il la peine d’essayer de comparer la terminologie de Béna avec la terminologie des autres ?

Je suis personnellement intéressé par un approfondissement de "l’instant Zéro" : problème récurrent de la distinction entre l’origine et le commencement, à propos duquel je viens d’achever la lecture d’un théologien (quelque peu contesté par l’Église), Hans Küng "Petit traité du commencement de toutes choses". Il y répond également "Pourquoi il n’y a pas rien" et le devoir d’avoir à "connaitre" (nouvelle naissance) en mettant en œuvre les moyens dont nous disposons. L’approche intéressante de Michel Godron est de rapprocher ces considérations du travail de Xavier sur le "débogage", considéré comme succession d’accords.

Question posée par Bertrand Lallour :
Je pense que nous pourrions également remettre sur la table la question du "Temps" (associé ou non à celle de l’Espace), déjà évoquée à plusieurs reprises notamment par Jacques Malbrancke.
Il vient de sortir un nouveau petit livre du physicien Etienne Klein, "Le facteur Temps ne sonnera jamais deux fois", qu’il faudrait que je travaille (de préférence à B. Sesboué).

Samedi 5 avril 2008

• 09h30 - 10h00 :

L’effet de décohérence.
Par Matthieu Guillermin (30 mn)

Problématique abordée :
L’effet de décohérence marque une frontière (structure) fondamentale de notre univers et de notre connaissance. Ce n’est pas un sujet nouveau, j’avais déjà présenté quelque chose dans ce style en 2005 je crois (http://www.groupebena.org/article.php3?id_article=74), mais cela était probablement trop nouveau pour moi pour que je puisse communiquer de façon intelligible. En tout cas, cela n’a pas suscité beaucoup de réactions alors qu’à mon avis nous avons là une des accroches entre la physique (très) fondamentale et la TNN.

• 10h00 - 10h30 :

Le premier bogue et le Peraccord.
Par Michel Godron (30 mn)

Problématique abordée :
L’une des idées fondamentales de Xavier Sallantin est que la question de Leibniz ("Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?") , peut être résumée sous la forme "0 ou 1 ?" en prenant 0 et 1 comme le point de départ de toute numération.

Xavier Sallantin fait remarquer que "quelque chose" commence à exister dans mon esprit quand je commence à y penser, ce qui est une réponse à la question "oui ou non" relative à l’existence même de ce quelque chose. Si la réponse est oui, le "quelque chose" existe ; si la réponse est non, le "quelque chose" n’existe pas.
Avant que la question "oui ou non" se pose, le "quelque chose" est seulement potentiel et n’existe pas. C’est là que la proposition de Xavier Sallantin est extrêmement subtile car elle suppose le problème résolu en pensant que le "quelque chose" potentiel existe à partir du moment où la question de son existence est posée. Il n’existe pas avant que la question soit posée, et c’est le fait de poser la question qui donne au "quelque chose" cette existence potentielle, un peu comme un photon apparaît quand l’onde lumineuse immatérielle, présente dans tout l’espace, est détectée en un point particulier par un observateur.
(J’espère que Xavier, s’il a le temps de lire ces propositions, nous dira si cette analogie entre le premier débogage et la dialectique onde-corpuscule lui semble acceptable.)

• 10h30 - 11h30 :

Retour sur les Dernières réflexions sur "Entropie et information"
Par Xavier Sallantin

Complément de présentation et débat.

• 11h30 - 12h30 :

Intervention de Jean-Nicolas Maisonnier :
(reportable à l’après-midi en cas de retard dans les débats)

• Compte rendu rapide (10 min + 15 min de débat) sur la quantification des avantages du système de pesage avec les puissances de trois. (en liaison avec Jacques Malbrancke).
• Réflexion sur le théorème d’incomplétude de Gödel et sur les machines de Turing.
• Point (15 min) sur le fonctionnement du Site internet du groupe Béna.

• 12h30 - 14h00 :
o Déjeuner.

• 14h00 - 15h30 :

• Réflexion sur le rayonnement futur de Béna et le lien avec les autres initiatives allant dans le même sens (groupes Teilhard, Jacques Arnould...)
• Programme des actions jusque la prochaine réunion (mise à jour du tableau des actions).

• 15h30 - 16h00 :

Tour de table final.


Documents joints

Ordre du jour (5p)