Essai de définition d’une méthodologie de validation de la TGS

lundi 9 octobre 2006
par  Sion M

En réfléchissant à la vaste tâche que nous propose Xavier en matière de validation de la TGS j’ai pensé qu’il était utile de formuler en termes simples une synthèse consistant à pointer ce qui me semble constituer les éléments fondamentaux autour desquels la TGS est construite. Ce faisant je suis conscient des simplifications apportées qui ont pour résultat une certaine clarification mais aussi une réduction. Je fais confiance à chacun pour bien sûr faire la critique de cette synthèse mais surtout pour restituer ce qui n’est pas développé de façon volontaire. J’ai surtout voulu dégager une logique de construction de la TGS afin d’en entrevoir un schéma d’organisation. Ce schéma pourrait servir à la définition d’une méthodologie de validation de la TGS. L’organisation que je dessine est surement significative d’une orientation qui pour l’essentiel consiste à faire la part de ce qui peut être identifié comme relevant du « scientifique » et de ce qui peut être identifié comme relevant plutôt du « théologique ».
L’œuvre de Xavier est monumentale et il m’a semblé nécessaire de faire ce sommaire. Je termine par des propositions de questions et par une hypothèse de méthode de validation.


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Méthodologie validation TGS
Commentaires de Xavier Sallantin

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lundi 9 octobre 2006 à 09h49 - par  Eric LOMBARD

Les trois concepts de la physique que sont le temps, la force et espace n’ont pas été acquis au seuil des trois transitions (cosmogenèse, biogenèse et noogenèse). La théorie du big-bang postule que l’espace-temps apparaît "au moment" du big-bang ainsi que les trois forces fondamentales, électro-faible, nucléaire forte et gravitation qui sont alors unifiées en une seule force.

Ma compréhension de ce que la TGS postule, c’est une discrimination de la matière de l’univers par l’orientation successive de ces 3 grandeurs :
- le temps (avant/après), qui autorise un tri entre matière et antimatière
- la force (droite/gauche), qui autorise un tri entre biomolécules chirales de type D et de type L
- l’espace (haut/bas), qui autorise un tri entre pensée objective et subjective

La matière qui se conforme aux critères de tri entre dans le cône de néguentropie ou de complexité croissante, rejetant le reste dans le chaos.

Pourquoi ces trois grandeurs ? Parce que ce sont les trois composantes du quantum d’action, pilier de la mécanique quantique et de son équivalent informatique, le bit d’information. Action = Temps x Force x Longueur.

Brèves

14 février 2020 - Publication de l’ECONOMIE DE L’UNIVERS

L’ECONOMIE DE L’UNIVERS : Nouvelle édition numérique complète de l’Essai édité par Xavier Sallantin (...)