Voici la nouvelle version du Sous-Titre 231 (Cf. PJ de l’article ci-dessus) que je viens d’achever (encore à l’état de brouillon) et tu verras les avancées considérables par rapport à la précédente. En me lançant dans le Sous-Titre 232 sur la biosynthèse des 64 codons =256/4, je me suis aperçu que quelque chose ne collait pas dans la nucléosynthèse : il fallait 128 = 256/2 éléments simples et non 118 comme dans la classification de Mendeleiev. Je crois avoir compris qu’il y en a bien 128 et c’est un scoop...
Sous réserve bien entendu que je me sois planté ce que tu ne manqueras pas de me démontrer..
Mais c’est ainsi, on avance pas à pas par succès et erreurs ...
XS.

Jean-Nicolas, je t’envoie mon Traité de l’Univers (LPG 08_04_13 joint a l’article 249) avant de le mettre sur mon site. J’ai encore des corrections à faire, notamment tous mes renvois à des pages sont erronés car la pagination a changé. Je perds beaucoup de temps à des problèmes de formatage.
Mais enfin je débarque dans les sciences humaines où je n’aurai plus le problème d’être en accord avec une théorie faisant autorité comme pour les sciences exactes puisque les théories sont multiples dans ces sciences molles il est vrai en pleine évolution avec les neurosciences.

Xavier, je t’envoie un petit document sur l’assemblage des 31-couplexes en 32-couplexes. J’entrevoie des variantes à ta figure 63 (page 237) qui peuvent être intéressantes à exploiter.
Amitiés.
Jean-Nicolas.
Nota : le 8 mai j’ai joint la version B de cette note à l’article 256

Merci Jean-Nicolas, beau travail. Je sors de la Noosphère et j’attaque l’Éthosphère considérant essentiel de boucler au plus vite ce qui n’est qu’un premier tour d’Univers exploratoire qui se précisera à la faveur des tours suivants. XS

Après bien des contretemps dus à mes défaillances personnelles (physiques et
mentales) et à celles de mon servo-cerveau informatique (orages et bogues),
voici donc mise en ligne ce jour sur (www.béna.com) une 2ème édition revue et corrigée avec bien sûr encore erreurs et coquilles. Elles seront je l’espère en partie
expurgées dans le tirage papier que je compte faire fin juin. (30 euros
l’exemplaires sur commande). Et ce ne sera qu’une étape dans le processus de
réalisation du "Projet Univers" qui en comprendra bien d’autres grâce au
concours espéré de bien d’autres volontaires pour s’y coller. .

Je souligne quelques dispositions particulièrement innovantes de ce Traité :

- changement de paradigme scientifique par application d’un nouvel outil
conceptuel : la logique de l’intrication, ou logique trinaire, plus
puissante que la logique binaire aristotélicienne qu’elle comprend,
- généralisation à toutes les communications naturelles ou culturelles de
l’intrication entre idée signifiée, réalité signifiante et référent normatif
du couplage entre arithmétique et physique, fondement d’une informatique
naturelle d’où procède la possibilité actuelle d’une numérisation
universelle, y compris des concepts,
- maillage alvéolaire du vide quantique par des tétraèdres réguliers
inscrits dans des cubes.
- supersymétrie entre charge électrique et charge gravifique,
- extension de la corrélation entre particules jumelles à des atomes
jumeaux, à des codons jumeaux, à des neurones jumeaux avec application à
l’empathie,
- fonctionnement de la machine à penser comprise comme machine à peser.
- encadrement du Hasard présidant à l’évolution physique épigénétique par
une régulation formelle orthogénétique,
- fonction miroir de la raison du sapiens entre la réduction historique
acquise de trois indéterminations naturelles fondamentales et la réduction,
historique en cours de trois indéterminations culturelles affectant les
rapports sociaux,
- Application de la logique trinaire en problématique constructiviste aux
classifications des particules, des atomes, des codons et des radicaux
sémantiques
- possibilité pour la pensée du sapiens d’une saisie holistique de
l’histoire de l’Univers comme une boucle fermée en Oméga par l’achèvement de
la connaissance sur les conditions initiales en Alpha. Le dernier mot du
discours de la science sera le premier mot du discours de l’Univers.
- perspective d’une intelligence demain universellement partagée sur une
Vérité absolue de référence contredisant la problématique de l’absurde et
répondant à la question du sens de l’Univers et du pilotage de son destin
par l’homme. Application à l’interprétation de la crise actuelle saisie
comme la nécessaire et douloureuse décomposition d’une humanité aliénée par
ses ignorances pour que naisse de l’effondrement de certitudes dépassées le
germe d’une condition humaine désaliénée et régénérée.