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vendredi 12 mars 2010
par  Jacques M

Le passage de la numérotation (ordinale) à la numération (quantitative)

En reprenant l’image du ruban d’enregistrement d’informations unitaires qu’il avait présenté en 2008 (Article N° 155) , Jacques M. prolonge sa réflexion et la soumet aux membres du Groupe Béna dans le document ci-joint (exposé en réunion le 12 (...)

En réponse à...

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mercredi 31 mars 2010 à 22h45 - par  Alain BRUYERE

Bonsoir,
Pour continuer ma réflexion, et là je suis sur un terrain plus flou.....car je m’aventure sur un terrain que Xavier explore depuis beaucoup beaucoup plus longtemps que moi et je ne suis pas du tout sûr que mon approche soit du tout correcte mais je vous la soumets car elle peut susciter de nombreux échanges à moins que vous ne considériez qu’elle est tout à fait farfelue auquel cas, il suffira de la ranger au placard des oubliettes...
Que puis-je tirer de mes réflexions en ce qui concerne les débogages successifs sur base de ce que je propose à savoir que le 3è débogage soit celui dans l’espace "conceptuel" permettant à l’homme d’advenir car s’agissant d’une Force lui permettant notamment de naviguer dans les niveaux d’abstraction et liée au contenant/contenu, dérivation/intégration.
Et bien que, en suivant cette approche, je ne conçois pas les débogages dans le même ordre que Xavier. Pour Xavier, c’est dans l’ordre, TFL et pour moi ce serait TLF.

En effet, selon mon approche, c’est le débogage de "l’Espace" (et non de la "Force"), càd la levée de l’indétermination gauche-droite mais aussi avant-arrière et bas-haut, c’est kif kif, qui a lieu dans la biosphère après le débogage du "Temps" (càd la levée de l’indétermination temps occurent-temps désoccurent qui a lieu dans la nucléosphère). Comme expliqué dans mon mail précédent, c’est cette levée de l’indétermination dans l’Espace qui permet de discriminer que si on se déplace de droite à gauche dans l’espace (ou d’avant en arrière ou de bas en haut, tout dépend du repère de départ), on augmente d’un rang, tandis que si on se déplace de gauche à droite, on diminue d’un rang.
Je mets donc alors le débogage de la "Force", comme 3è débogage, et non comme 2è, dans la nucléosphère.
Est-ce logique ?
Pour qu’une Force puisse s’exprimer, il faut que les notions de Temps et d’Espace aient été déboguées càd que la Force doit pouvoir s’exercer dans un Temps qui est débogué et un Espace qui est débogué. Le Temps est le Temps occurent thermodynamique qui "s’occure" et l’Espace est l’Espace physique qui "s’étend". Donc ici le 3è débogage, selon mon approche, concerne la Force, Force qui permet de passer du contenant au contenu ou encore d’un niveau d’abstraction n à un niveau d’abstraction n+1, ou de dimension n à dimension n+1, que j’appelle Force d’Intégration ou Force qui permet de passer du contenu au contenant ou d’un niveau d’abstraction n+1 à un niveau d’abstraction n, ou de dimension n+1 à dimension n, que j’appelle Force de Dérivation. C’est donc cette Force qui permet de passer d’un niveau conceptuel à un autre. L’homme a en effet établi que ’il est en effet nécessaire de disposer d’une telle Force pour passer du repos à un mouvement rectiligne uniforme ou d’un mouvement rectiligne uniforme à un mouvement rectiligne non-uniforme càd pour provoquer une accélération dans les 2 cas, accélération pouvant être soit une variation en grandeur (ou quantité) de la vitesse, soit une variation en direction de la vitesse. Dans les 2 cas, on a F = dp/dt
où p est la quantité de mouvement de l’objet, c’est-à-dire le produit de la masse par la vitesse (tandis que l’impulsion est le changement de la quantité de mouvement produit dans un court laps de temps donné), et t est le temps. Si la masse est constante, alors on a :

F = ma car p = mv et a = dv/dt ou v = vitesse et m = masse et a = accélération

On voit donc que la Force est ce qui permet de dériver, ici dans le temps, la quantité de mouvement, càd la vitesse, si la masse est constante, pour obtenir l’accélération et inversémment, toujours si la masse est constante, la Force est ce qui permet d’intégrer, dans le temps, l’accélération pour obtenir la vitesse. Si je prends donc la dérivée de la quantité de mouvement, ou de la vitesse, si la masse est constante, j’obtiens l’accélération et si je prend l’intégrale de l’accélération, j’obtiens la vitesse, si la masse est constante. On voit donc que c’est la Force qui nous permet d’intégrer ou de dériver càd de passer d’une dimension n à une dimension n+1 et inversémment. C’est ce qui se passe en fait quand on passe de la biosphère à la noosphère puisque comme expliqué dans mon mail précédent, en conclusion, " les poids de la biosphère deviennent les exposants de la noosphère qui servent à définir les poids de la noosphère et cela se passe par une opération d’intégration qui engendre/génère une dimension supplémentaire ; inversément, les exposants des poids de la noosphère deviennent les poids de la biosphère par une opération de dérivation qui désengendre/dégénère une dimension en moins". Quand on dérive x**3, on passe en fait d’un x**3 à un x**2 , en fait 3 x**2 exactement, avec l’exposant 3 dans x**3 qui devient le poids 3 dans 3x**2 et on a la diminution d’une dimension car on passe de l’exposant 3 dans x**3 à l’exposant 2 dans x**2.
Bon je voudrais également vous envoyer des notes concernant toutes les grandeurs de Planck car on ne cesse d’en parler mais il faut savoir ce qu’elles représentes Lp, Tp, Ep,T°p, Mp, Erp, Mup, etc...
- Bien à vous. Alain

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