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vendredi 12 mars 2010
par  Jacques M

Le passage de la numérotation (ordinale) à la numération (quantitative)

En reprenant l’image du ruban d’enregistrement d’informations unitaires qu’il avait présenté en 2008 (Article N° 155) , Jacques M. prolonge sa réflexion et la soumet aux membres du Groupe Béna dans le document ci-joint (exposé en réunion le 12 (...)

En réponse à...

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lundi 29 mars 2010 à 18h05 - par  Xavier SALLANTIN

Je suis avec attention votre cheminement tout en cheminant de mon coté avec comme vous le constatez de multiples embardées et approxiamations qui sont pour une bonne part la cause de vos difficultés et je me le reproche.

Cependant, il me semble qu’il y a une différence de méthode entre nous et il faut s’en expliquer. J’essaie pour ma part de commencer par le commencement puis de remonter pas à pas vers le sapiens en m’efforçant de ne pas appliquer la grille du sapiens sur mon analyse, mais de reconstituer méthodiquement la genèse naturelle de cette grille. Certes je sais que les données sur les origines que j’utilise ont été obtenues par le sapiens utilisant sa grille, mais peu importe du moment qu’elles sont validées comme fidèles à la Nature puisqu’elles permettent au sapiens des applications techniques qui marchent..

Donc il y a une démarche extrêmement laborieuse qui consiste à se faire particule originelle, souche de toute la population des particules quantiques de la Phénosphère qui se forment dans la fournaise du plasma primitif. Se pénétrer de ce que de manière innée la communication entre ces particules est déjà polarisée par la discrimination quantique/ non quantique dont le quantum d’action de Planck est le référent non pas seulement physique mais physico- arithmétique.

Puis se faire première molécule d’hydrogène, souche de toute la population des éléments chimiques de la Nucléosphère qui par fusion et fusion se forment dans le cœur des étoiles. Se pénétrer de ce que de manière innée cette nucléopopulation est en plus polarisée par la discrimination Passé/Futur dont le référent est le Temps Thermodynamique, lui aussi physico-arithmétique. Puis se faire première cellule vivante, souche de toute la population des êtres vivants de la Biosphère qui par scissiparité et appariements se forment dans la soupe primitive. Se pénétrer de ce que de manière innée cette biopopulation est en plus polarisée par la discrimination lévogyre /dextrogyre dont le référent est un moment cinétique ( la Force de Coriolis), lui aussi physico-arithmétique. Etc..., Donc se déprogrammer de notre propre grille pour saisir à chaque étape la communication qui s’instaure à travers une grille qui ne doit rien à la nôtre mais dont la nôtre procède. C’est pour ma part le plus souvent en rêve ou en demi-sommeil que j’entre dans la peau d’un nucléon ou d’une bactérie. S’exercer comme Alice à passer de l’autre côté du miroir...

J’ai essayé de résumer où j’en suis de cette démarche tâtonnante dans le tableau ci-joint , ce qui implique de traduire dans le langage du sapîens moderne ce qui est en fait exprimé dans le langage des particules, des molécules, des cellules etc..., et vous savez combien cette quête du mot juste appelle d’incessants correctifs. Il a pour fin de bien mettre en évidence le couplage physique/arithmétique conforme à un référent.

Mais on touche ici à l’essentiel car au commencement du commencement il y a le premier mot d’un langage et le statut trialectique de la signification de ce Logos exprimée par la trilogie signifié idéel, signifiant réel et référent normatif de leur couplage. La reconstitution de la genèse de la grille (le cryptogramme de la Création) implique donc dès le départ de travailler sur trois tableaux : genèse arithmétique, genèse physique, et genèse de leur couplage nominal instaurant un degré d’accord physico-arithmétique croissant. On ne peut faire tantôt de la physique et tantôt des mathématiques. Par exemple : On ne peut dire qu’il n’y a pas d’arithmétique à l’échelle quantique alors que la quantification est à la racine de l’arithmétique. Mais Peano oublie de le dire. Idem : On ne peut offrir à la nucléoarithmétique le support physique d’un ruban enregistreur calibré alors que la polymérisation de l’hydrogène s’arrête à sa molécule. La distinction que j’introduis en arithmétique entre la majoration du 0 qui devient 1 et la minoration du 1 qui devient 0 est une opération commutative qui elle aussi n’est pas mentionnée dans l’axiomatique de Peano. C’est nouveau et il faut aussi être clair là-dessus. Bref, hors de la logique trialectique pas de salut ! on ne pourra accorder nos violons sans s’accorder sur ce fondement ontologique de l’accord...

J’arrête là ces réactions improvisées qui exigeraient de longs échanges. Mais je donne tout mon temps à la rédaction de l’article pour la RDN et c’est un sacré sport de rendre cela comestible en dix pages. J’explore un stratagème (de stratégiste !) Raconter l’histoire de l’Univers comme un Impromptu dont les acteurs (la Nature puis l’Homme) improvisent au cours d’actes successifs dans un décor imposé avec un thème imposé . Le décor c’est la Phénosphère et le thème c’est l’amour car si on peut communiquer sans aimer on ne peut aimer sans communiquer ; les accords sur une polarisation de référence - qui caractérisent par des degrés croissant les différents niveaux de communication entre particules, molécules, cellules, etc.. ,- peuvent être assimilés à des degrés d’amour (comme je l’ai fait pour le pas de deux entre électron et proton).

Là-dessus bonsoir amical à tous . XS - 29 mars 2010 -18h50

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